L’équicoaching demande un savoir-faire et un savoir-être
VRAI. L’équicoaching repose sur des méthodes structurées qui combinent une connaissance approfondie de la relation au cheval, sans recours à des pratiques coercitives, et des techniques de coaching reconnues. Il s’appuie également sur des connaissances scientifiques telles que le champ magnétique du cœur, la lecture du langage non verbal et la compréhension approfondie de l’intelligence émotionnelle. Une compréhension des limites entre coaching et psychothérapie est essentielle pour intervenir de manière éthique et légale.
Les chevaux sont des animaux magiques qui transforment les gens
FAUX. Ce n’est pas la présence du cheval qui provoque le changement, mais bien l’interaction entre le participant, l’équipe d’encadrement et le cheval, ainsi que la régularité des séances. Le processus de transformation repose sur un accompagnement progressif et structuré.
L’équicoaching est réservé aux entreprises et coûte très cher
FAUX. Si l’équicoaching est prisé par les entreprises pour le développement des compétences professionnelles, il s’adresse également aux particuliers. Les tarifs varient selon la durée et le cadre de l’intervention. Des solutions de paiement échelonné peuvent être proposées pour les formations.
Il faut aimer les chevaux pour bénéficier de l’équicoaching
FAUX. L’amour des chevaux n’est pas nécessaire. Le travail se concentre sur les objectifs et les besoins du client, indépendamment de son affinité avec les chevaux.
Il suffit d’avoir un cheval et de donner des conseils pour être équicoach
FAUX. Devenir équicoach nécessite une formation solide, des compétences spécifiques, une supervision régulière et le respect d’une déontologie professionnelle.
L’équicoaching consiste à apprendre la posture juste
VRAI. L’équicoaching s’appuie sur l’art du questionnement socratique, permettant au client de trouver ses propres solutions. Il ne s’agit en aucun cas d’interprétations arbitraires des comportements observés.
L’équicoaching manque de méthodes et de rigueur
FAUX. L’équicoaching repose sur des techniques rigoureuses de structure, d’analyse et de gestion du cadre. Une formation sérieuse est indispensable pour garantir la qualité de l’accompagnement.
Une certification suffit pour être compétent
FAUX. Une certification n’est qu’une étape. La véritable compétence se construit par la pratique, la formation continue et la supervision professionnelle.
L’équicoaching peut résoudre toutes les problématiques
FAUX. L’équicoach doit connaître les limites de son champ d’intervention. Il ne remplace ni un psychologue ni un autre professionnel de la santé mentale. Une orientation vers des spécialistes est parfois nécessaire.
Conclusion
L’équicoaching est une approche novatrice qui allie le savoir-faire humain et la sagesse intuitive du cheval pour accompagner efficacement le développement personnel et professionnel. Ancré dans des pratiques rigoureuses, des connaissances scientifiques et une éthique solide, il offre un cadre sécurisant et adapté à chacun. Reconnaître ses limites et ses atouts permet à l’équicoaching de révéler tout son potentiel : un levier puissant de transformation authentique et durable.