L’empathie contre les désastres de l’urgence. Nous avons curieusement surmultiplié nos moyens de communication dont on aurait pu croire que le résultat soit la fluidité et – peut-être – un monde meilleur. Un monde meilleur et empathique. Or plutôt qu’une écologie d’expressions nous en arrivons à une pollution stressante de messages dont il est compliqué de démêler l’important du désuet, le vibrant du banal.
Nous sommes régulièrement dans des impasses parce que nous voulons aller plus vite, trop vite. Par mail ou par téléphone nous échangeons via des machines… (Vous connaissez : « tapez 1 pour … » « taper 2 pour… » ?…)
Qu’est-ce qui motive la rapidité ?
Rien… Enfin « presque » rien. Quand je dis « presque » c’est cet infini subtil d’une émotion qui nous traverse. Nos émotions – conscientes ou non – sont des signaux d’actions correspondant à un stress. Il peut avoir plusieurs origines, toutes très individuelles, comme par exemple le fait de :- Réussir
- Perdre sa place
- Envier une place
- Ne pas échouer
- Vouloir sauver
- Diriger
- Séduire
- Passer à autre chose
- Prendre du plaisir
- Echapper à l’inconfort
- Eviter de ressentir quelque chose de désagréable
- …
